« Le Maloya […] renaît, teinté d’électronique […] ou franchement rock, notamment
avec le groupe Trans Kabar, avec son deuxième album Mazine La Mor. »
Libération
« En mêlant créations originales et adaptations de morceaux traditionnels, il convoque la transe et retrouve, en empruntant d’autres voies, la pulsion incandescente de l’afrobeat. »
Rock&Folk
« Calées sur la rythmique ternaire lancinante du maloya, leurs improvisations font monter la fièvre, invitant la public à « danser la musique », dans un mélange de fièvre et de ferveur. »
Télérama*Sortir
Avec Trans Kabar, le maloya ne se transforme pas, il se développe et s’enrichit.
Musique hybride, métisse, née à Paris de la rencontre entre le maloya réunionnais traditionnel et les instruments du rock et du jazz. Plus qu’un concept, une alchimie fusionnelle entre quatre musiciens (Jean-Didier Hoareau au chant, Stéphane Hoareau à la guitare, Théo Girard à la contrebasse et Ianik Tallet à la batterie) naturellement curieux, avides d’aventures et libres de fantasmer une nouvelle façon d’approcher la musique traditionnelle.
Cette musique est à la fois du maloya, du rock et du free-jazz, mais aussi plus que la somme des trois. C’est l’expression d’un groupe pris en flagrant délit de marronnage musical, ivre de liberté.
With Trans Kabar, Maloya music doesn’t drastically change, it evolves and thrives.
Hybrid music, born in Paris from the encounter between traditional Reunionese Maloya and instruments from Rock and Jazz. More than a concept, a fusional chemistry between four musicians (Jean-Didier Hoareau on vocals, Stéphane Hoareau on the guitar, Théo Girard on the double bass and Ianik Tallet on the drums) naturally curious, eager for adventure and open to a new way of approaching traditional music.
This music isn’t only a combination of maloya, rock and free-jazz. It is the expression of a group caught in the act of musical marrooning, drunk with freedom.
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