« L’esprit de BRACCO c’est garder l’urgence du live […] rester sur cette tension, sur cette surenchère, sur cette urgence. « Dromonia » c’est le nom de leur nouvel album, c’est un de ces disques névrotiques, un disque sans barrières de sécurité qui donne à penser autant qu’à danser. »
France Inter / Côté Club (24/11/22)
« “Dromonia” l’album fourre-tout galvanisant de Bracco. »
Les Inrockuptibles (08/12/22)
« Un assemblage de “Suicide version techno” avec “I Love You”, du kitch et de la fraicheur pour le single “Be a boy” avec Claire Dance : le projet permet aux deux parties de Bracco de se réinventer sans se définir pour autant. »
Tsugi (09/12/22)
Bracco, sur scène, c’est Loren, qui se tient bien occupé, baguettes en main, devant un assortiment de machines et de synthés. Et c’est Baptiste, guitare au cou, qui chante avec la conviction rare de ceux qui se rentrent le micro dans la bouche pour que les mots sortent mieux. S’être pété la rétine sur les VHS des Cramps doit aider. Son bagage garage (Los VV’s) informe le jeu de gratte âpre et précis. Baptiste gère la verticalité, Loren l’espace et les horizontales : ça érige solide même si c’est technique schlag, visseuses et bois de palette, on sent qu’ils visent haut.
Bracco stand on stage like they stand on the border between music genres that are usually kept separated. Catharsis and trance come first for the French duet. They grabbed the guitar sounds and riffs, and threw them back into the clubs, in a techno-punk sound that brings back Front 242, Depeche Mode, Suicide or even Psychic TV. Untamed, unapologetic, they offer a brash and furious live – loud beats, raging guitars and wrenched voice – a perfect fit for clubs. Their music is for those who do not want to choose, and spend their nights dancing their lives away.
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